Ce que la réalité augmentée change dans l’expérience shopper

Contrairement à la réalité virtuelle (VR), la réalité augmentée ne coupe pas du réel : elle le complète.
Elle permet de superposer des éléments 3D, des animations ou du contenu interactif sur l’environnement physique du consommateur.

En marketing, la réalité augmentée permet de : 

• Mettre en scène un produit dans son usage final
• Projeter le shopper dans un univers de marque
• Créer une mécanique ludique, pédagogique ou immersive
• Transformer un simple pack, un affichage ou un stand en expérience vivante

Des usages de réalité augmentée déjà bien ancrés

• Pack AR : flasher un produit pour le voir “s’ouvrir” ou prendre vie à l’écran
• Affichage augmenté : découvrir un message caché, une animation surprise, un jeu contextuel
• Essayage virtuel : maquillage, lunettes, mobilier… projeter sans essayer
• Activation terrain : via un filtre, une app, un QR code, créer de l’interaction ou du contenu UGC directement depuis un événement, un festival, un centre commercial…

Pourquoi la réalité augmentée fonctionne ?

• Parce que c’est visuel, vivant et inattendu
• Parce que cela multiplie le temps d’exposition à la marque
• Parce que cela génère de l’engagement naturel, surtout chez les jeunes audiences
• Parce que cela apporte de la valeur d’usage ou de divertissement, au-delà de la simple pub

Oui, mais pas à tout prix

La réalité augmentée  n’est pas une fin en soi. Mal utilisée, elle peut complexifier l’expérience ou sembler gadget.

L’enjeu, c’est :

• D’avoir un vrai insight consommateur
• Une expérience fluide et accessible (webAR, pas de téléchargement imposé)
• Une utilité claire : apporter du sens, de l'émotion ou de la surprise

Chez Keemia, on conçoit des activations augmentées qui mixent créa, techno et narration.
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