Le sampling n’est pas mort. il revient plus ciblé, plus stratégique.

Longtemps mis de côté — jugé trop cher, pas assez ROIste, peu compatible avec une logique RSE — le sampling revient en force dans les stratégies d’activation. Et pour cause : dans un monde saturé de messages, rien ne remplace le pouvoir de l’essai.

Mettre le produit entre les mains du consommateur, c’est l’exposer, le valoriser, le faire ressentir. C’est déclencher un geste d’achat par l’émotion, le plaisir ou la surprise.

Et ce n’est pas un hasard :

73 % des consommateurs sont plus enclins à acheter un produit après l’avoir testévia un échantillon *— contre 25 % après avoir vu une pub classique.
35 % passent même à l’acte d’achat immédiatement après la réception*.

Mais pour que ça fonctionne, encore faut-il s’interroger :

Quand échantillonner ? Où ? Comment ? À quel format ? Et pour quels indicateurs de succès ?

‍Quand réaliser une campagne de sampling ?

Non, le sampling n’est pas réservé au lancement produit. C’est un outil qui peut servir différents objectifs :

Lancement produit : pour créer la découverte, la préférence, l’envie.
Soutien au référencement : pour accompagner un référencement récent ou soutenir la présence en GMS.
Temps fort saisonnier : pour émerger en période de surpression concurrentielle.
(Re)connexion émotionnelle : dans le cadre d’un repositionnement ou d’un plan de reconquête.

L’enjeu : choisir le bon moment dans le parcours du shopper — et le bon format.

Le plan de déploiement : choisir le bon terrain pour réussir la campagne d'échantillonnage

Dans un lieu de consommation ou de décision

C’est l’approche la plus directe : placer l’échantillon là où le shopper est dans une posture d’achat ou de consommation immédiate.
Exemple : Milka a choisi la période des vacances scolaires et les aires d’autoroutes comme terrain de jeu pour faire découvrir sa nouvelle recette -A découvrir ici cas Milka

En asilage colis (ou e-sampling)

Idéal pour cibler des clients déjà acheteurs dans une catégorie donnée, via les courses en DRIVE ou les colis des sites de e-commerce.

Exemple de e-sampling, expert du sampling digital ciblé, qui a rejoint récemment le groupe Keemia pour renforcer notre offre d’échantillonnage.

En street marketing

Distribuer en main propre, sur un spot bien choisi, avec du lien humain ou une mise en scène.
Exemple : Benenuts, avec son pick up estival qui a sillonné les rues pour faire (re)découvrir la marque à l’apéro.‍

Échantillon ou format réel ? Tout dépend du produit…

Il ne s’agit pas toujours de miniatures. Parfois, le format réel est plus pertinent, plus RSE — voire plus économique — que de produire un échantillon spécifique.

Format échantillon : idéal pour produits liquides, cosmétiques, snacking…
Format réel : pour les formats mono-usage ou peu coûteux (barres, boissons, kits…)
Format découverte : mix entre les deux, avec un produit un peu plus généreux qu’un échantillon basique.

L’idée : faire goûter ou tester dans des conditions proches de la réalité d’usage.

Quels KPIs pour évaluer une campagne de sampling ?

Volume d’échantillons distribués
Taux de transformation (avant / après distribution)
Collecte de data opt-in
Impact sur le sell-out en point de vente
Interactions post-échantillonnage : réseaux sociaux, feedback, trafic en ligne…

Et quand le sampling est bien intégré dans un dispositif activation (stand, borne, jeu, contenu digital…), ses performances décuplent.

Transformez l'essai en achat avec une stratégie de sampling sur mesure

Le sampling reste une arme redoutable… à condition de bien l’utiliser. C’est un levier :

de découverte produit
d’engagement immédiat
de création de lien tangible avec la marque

Chez Keemia, on conçoit des campagnes de sampling pensées comme de vraies expériences de marque. En point de vente, en street, en e-sampling… on vous aide à trouver le bon format, au bon moment, pour vos objectifs. Contactez-nous pour votre prochaine campagne.

*source : Soho Sampling