Pourquoi le nostalgia core séduit-il les marques ?

Elle active l’émotion instantanément : un visuel 90’s ou un jingle connu déclenche un effet madeleine immédiat.
Elle génère de l’UGC : les gens aiment partager ce qui les “ramène en enfance”.
Elle crée du lien intergénérationnel : les plus jeunes y voient du cool, les plus âgés, du familier.
Elle permet de renouveler une marque sans la dénaturer : en jouant avec ses archives, ses anciens packagings ou slogans.

Exploiter le nostalgia core sans clichés

Naming & design : détourner les codes d’une époque (gameboy, VHS, papiers peints rétro, typo de sitcom…)
Mécaniques ludiques : quiz de culture pop, bornes “vintage selfie”, jeux inspirés de consoles rétro
Goodies collector : pins, stickers, cartes à gratter, casquettes à l’ancienne…
Événementialisation : scénographie façon “fête de fin d’année 2001”, stand photobooth retour vers les années collège, mini boutique revival…

Les clés d'une activation nostalgia core réussie

• Ne pas copier, rejouer : on ne fait pas “comme avant”, on le réinvente avec une touche contemporaine.
• Être cohérent avec son ADN : ne pas forcer si la marque n’a aucune légitimité dans l’univers.
• Cibler juste : identifier l’époque qui touche sa cible (un trentenaire ne sera pas sensible aux mêmes références qu’un quadra).
• Mixer rétro & digital : filtre Instagram façon pellicule, QR code vers une playlist old school, jeu rétro sur borne connectée…

Et vous, vous activez quelle époque ?

Chez Keemia, on imagine des activations qui marient justesse stratégique et twist créatif.
Et si on jouait avec vos souvenirs pour créer la prochaine opération de demain ? Parlons activation (et madeleine de Proust) :

Cassettes, logos pixelisés, typos old school, couleurs désaturées, jeux vintage, clins d’œil aux années 80/90/2000…
Le "nostalgia core" s’impose comme un terrain de jeu créatif puissant — à condition de ne pas sombrer dans le simple “revival”.
En activation, cette esthétique rétro (et parfois kitsch) peut se révéler un levier émotionnel fort.
Pourquoi ça marche ? Parce qu’elle joue avec la mémoire, les souvenirs, les affects.
Et que dans un monde ultra-digitalisé, le passé rassure, touche, connecte.

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